Access to information is a fundamental human right, which is increasingly being undermined in the era of information overload and fake news. It is therefore both necessary and urgent to promote media literacy so the public can decode information to improve their analysis skills and capacity for judgment. That is one of the aims of Global Media and Information Literacy Week, organized by UNESCO from 24 to 31 October with the theme of “nurturing trust: a media and information literacy imperative.”
It is now obvious that digital social media is responsible for disseminating and amplifying fake news. On top of that, some online media outlets prioritize clickbait over reliable information. Fake news comes in various forms – articles, editorials, videos and social media posts. It can be produced by specialized organizations, activists or individuals.
As major consumers of information from social media, young people become increasingly vulnerable to fake news as more and more of them live their daily lives through these platforms. This shapes their way of seeing the world, their opinions and their relationships with other people.
Many initiatives have been taken to face up to this new reality. For its part, the UN is stepping up its efforts to ensure the circulation of accurate and credible information, especially through its Department of Global Communications in New York and the Information Service of the United Nations Office at Geneva.
Droit humain fondamental, l’accès à l’information est de plus en plus malmené à l’heure de l’obésité informationnelle et du déferlement des infox ou fake news. D’où la nécessité et l’urgence de promouvoir une éducation aux médias afin que les populations puissent décrypter les informations de sorte à améliorer leurs capacités d’analyse et de jugement. C’est l’un des objectifs de la semaine mondiale de l’éducation aux médias et à l’information organisée du 24 au 31 octobre sous l’égide de l’UNESCO et dont le thème est « Nourrir la confiance : un impératif de l’éducation aux médias et à l’information ».
La responsabilité des réseaux sociaux numériques dans la diffusion et l’amplification des « fake news » n’est plus à démontrer. S’y ajoute la tentation de certains médias en ligne qui privilégient une politique du « clic » plutôt que des informations fiables. Les infox peuvent prendre diverses formes : articles, éditoriaux, vidéos, posts sur les réseaux sociaux. Elles sont produites par des organes spécialisés, des militants ou des particuliers.
Gros consommateurs d’informations sur les réseaux sociaux, les jeunes sont d’autant plus perméables à ces infox qu’ils sont de plus en plus nombreux à vivre leur quotidien par l’intermédiaire des réseaux . Ce qui façonne leur perception du monde, leurs opinions et leurs rapports aux autres.
Face à cette nouvelle réalité, de nombreuses initiatives sont prises. L’ONU, pour sa part, multiplie les efforts pour garantir la circulation d’informations justes et crédibles, en particulier via le Département de la communication globale à New York et le Service de l’Information à l’Office des Nations Unies à Genève.