EDITORIAL

EDITORIAL

Editorial – April 2022
1 Apr 2022

Continuous training is in the ascendant. Is it an indispensable condition for the United Nations to be able to deliver its mandates effectively? Is it essential for career development? Is it a driver of excellence? Is it one of many ways to motivate staff whose day-to-day work is repetitive? At a time when the range of courses is rapidly growing to include all areas from the most general to the highly specialized, both staff and employers are asking these questions.

Advocates of continuous training believe that it is hard to do without it, given that many professions are evolving due to new technology and developments in artificial intelligence. Its critics counter that it is possible to acquire the necessary skills through practice and generational diversity, which enables an ongoing exchange between traditional and innovative knowledge within a team.

An organization like the UN, employing thousands of individuals across the world in conditions that can be extremely difficult and challenging, increasingly needs continuous training to ensure better support for the people it is supposed to represent. Above all, it is essential for more effective processes and interventions in line with the principles and values set out by the organization’s founders.

This issue gives an overview of the continuous training offered by the UN to its staff. This training is now accessible to a wide audience thanks to the boom in online learning following the pandemic. So why are you waiting to gain some new skills and benefit the UN?


La formation continue a le vent en poupe. Est-elle une condition une condition sine qua non pour permettre aux Nations Unies d’effectuer avec le plus d’efficacité possible les missions qui lui sont confiées ? Est-elle incontournable pour progresser dans sa carrière ? Est-elle un facteur d’excellence ? Est-elle un moyen, parmi d’autres, pour motiver des employés dont les tâches quotidiennes sont répétitives ? A l’heure où l’offre est en pleine expansion et couvre tous les domaines, du plus général au plus pointu, ces questions se posent pour les employés comme pour les employeurs.

Les fervents défenseurs de la formation continue estiment qu’il est difficile de s’en passer étant donné qu’un grand nombre de professions sont en mutation du fait des nouvelles technologies et des progrès de l’intelligence artificielle. Pour ses détracteurs, il est possible d’acquérir les capacités et les compétences nécessaires via la pratique et la mixité générationnelle qui permet des échanges constants au sein d’une équipe entre des savoirs traditionnels et novateurs.

Pour une organisation comme l’ONU, qui emploie des milliers de personnes partout dans le monde dans des conditions parfois extrêmement difficiles et éprouvantes, la formation continue est de plus en plus essentielle afin d’accompagner au mieux les populations qu’elle est censée représenter. Et, surtout, pour que ses processus et ses interventions soient plus efficaces dans le respect des principes et des valeurs élaborés par les pères fondateurs.

Ce numéro présente un aperçu des offres de formation continue que l’ONU met à disposition de son personnel. Des formations désormais accessibles au plus grand nombre grâce à l’enseignement en ligne qui a connu un formidable essor à la suite à la pandémie. Alors qu’attendez-vous pour acquérir de nouvelles connaissances et les mettre au service de l’ONU ?

* Prisca Chaoui is the Editor-in-chief of UN Today.

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